13 avril - VJ Sauriol; Too Much TV à 70%

  13 avril 2015, 

                au Brouhaha, 5860 DeLorimier

17h15 - Long métrage de la semaine -
        Alienator , 1989, -7

19h00 - 70% enregistré devant public -
        Too Much TV

20h30 - entrée en piste du VJ de la soirée -
        VJ Maxime Sauriol

21h30 - encan douteux -
         puis encore des clips du VJ

22h30 - Lundis Libres à Lavigne -
         Karaoke et clips jusqu'au bout de la nuit! 

Too Much TV

Too Much TV et un collectif tissé serré de gars vraiment crinqués.  Humour, politique, relations humaines et tout ce qui nous rend fier, ou non, d'appartenir à notre génération d'adolescents perpétuels élevés devant la TV constituent leurs sujets.  Ils viennent nous présenter un nouvel album avec 'Celine' dans le titre!  Cliquez donc sur le titre de ce paragraphe pour aller liker leur page Facebook.

VJ Maxime Sauriol 

POV du bureau de Maxime

De sa grande sœur qui le « forçait » à se prendre pour un New Kids On The Block à ses études en cinéma et publicité, Maxime Sauriol a toujours baigné dans les vidéos. Étant depuis quelques années un véritable spécialiste en vidéos viraux, il est branché sur YouTube plus de 40 heures/semaine à la recherche de perles, mais il repêche aussi beaucoup de merdes qui autrement se noieraient dans le vide viscéral de l’oubli. Et qu’il partage souvent sur notre groupe FB, où il est fort actif.

C’est une sélection de certaines de ces WhatTheFuckeries sauvées des eaux troubles du net qu’il présentera, mais il y ajoutera aussi quelques classiques de l’univers douteulogique ainsi que quelques vidéos de meilleure qualité. Si on se fie à sa dernière performance de VJ, son set devrait être une véritable croisière s’amuse.

En quelques mots, pour décrire son set, le tout devrait s’écarter au Max.

 

Alienator

 

Des effets très spéciaux comme vous les aimez.

USA, ados, science fiction et chalets.  Musculo-respiratoire est une insulte qu’un nerd à lunette lance au tough de la gang qui, lui, est doublé par le gars qui double Bruce Willis.  C'est très difficile de passer outre ce fait.  Très très difficile.  L’intrigue de base du film est très discutable et consiste en un prisonnier spatial qui s'enfuie de la prison de l'espace pour artontir sur la Terre.  La chasseresse de l’espace au look lesbien et à la voix de camionneur ne fait qu’en rajouter au questionnement.  Un titre génial pour un film d’ado unique. Sérieusement, vous allez vous en rappeler de celui-là.

"Dans les lointaines galaxies, lorsqu'une mission doit être accomplie, c'est à une femme qu'on la confie!"

Larves de l'espace pour une torture spatiale.

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